“Animi gratia”  : le faux problème de la "sincérité"

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Lorsque, pris par quelque inspiration subite, on ouvre l'histoire littéraire de Lagarde et Michard au chapitre sur Boileau, on est frappé par l'insistance mise par les deux Professeurs à exonérer l'auteur du soupçon de calcul intéressé, de passion ou de mensonge. Il lui arrive sans doute, quand il est réconcilié avec un adversaire, de biffer son nom dans ses ouvrages, quitte à le remplacer, pour les besoins de la rime, par celui de quelque malheureux auteur qui ne méritait probablement d'êtr...

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