L'art en personne. Pour une histoire sociale du portrait-27: Les tensions créatrices du portrait photographique # 3

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July 8, 2020

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Sylvain Maresca, « L'art en personne. Pour une histoire sociale du portrait-27: Les tensions créatrices du portrait photographique # 3 », HALSHS : archive ouverte en Sciences de l’Homme et de la Société - notices sans texte intégral, ID : 10670/1.81b35e...


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À l'origine, les plaques photographiques étaient si lentes que les modèles étaient astreints à de longues poses sans bouger. À partir des années 1870-1880, les émulsions devinrent trop rapides : elles produisaient des instantanés quand c'étaient toujours des icônes que réclamaient la clientèle, c'est-à-dire des images parfaites, idéalisées. Le temps et ses contraintes ont donc toujours pesé sur la démarche des photographes.Héritiers de la tradition picturale, certains recherchèrent l'image unique qui pourrait résumer la personnalité de leur modèle, quand d'autres traquaient une image générique en superposant de multiples portraits individuels.Selon une logique opposée, les portraits se démultiplièrent en séries, en particulier dans la photographie documentaire. Certaines visaient à rendre visible les effets du temps sur le visage des mêmes modèles, tandis que d'autres éclataient tout bonnement la représentation en autant de facettes que d'instantanés.

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