Lisbonne, graffiti dans la ville depuis la crise de 2008

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7 juillet 2014

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Marie-Pierre Siffre, « Lisbonne, graffiti dans la ville depuis la crise de 2008 », Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance, ID : 10670/1.8jcf62


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Lors de l'année de mobilité Erasmus à Lisbonne au Portugal, l'auteur a découvert l'architecture de ce pays. Elle a constaté une certaine qualité dans les édifices contemporains construits dans les centres anciens. La problématique du mémoire trouve son origine dans ce constat : quels enseignements peut-on tirer de l'architecture contemporaine portugaise dans la réalisation d'édifices en centre historique ? L'auteur a d'abord formulé l'hypothèse que la qualité des édifices trouvait ses origines dans les débuts de l'architecture moderne au Portugal. Les architectes de cette époque ont initié des recherches sur la cohérence entre l'architecture vernaculaire et la pensée moderne. Fernando Tavora, après avoir travaillé sur cette thématique, a élaboré des théories. Ces théories développent l'idée que le bâtiment doit entrer en symbiose avec son contexte. Pour ce faire, il faut le prendre en considération par diverses méthodes liées à l'environnement urbain, paysager, historique et social. En analysant trois bâtiments : la Casa dos 24 à Porto, les Terrasses de Bragances, le Chiado d'Alvaro Siza à Lisbonne et l'ISEG de Gançalo Byrne, l'auteur essaie de comprendre comment la théorie est mise en application et comment elle s'enrichit de l'expérience de chaque architecte.

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