Rousseur fatale dans La peau blanche de Joël Champetier

Fiche du document

Date

2020

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Relations

Ce document est lié à :
Voix plurielles : Revue de l'Association des professeur.e.s de français des universités et collèges canadiens (APFUCC) ; vol. 17 no. 1 (2020)

Collection

Erudit

Organisation

Consortium Érudit

Licence

©, 2020FanieDemeule



Citer ce document

Fanie Demeule, « Rousseur fatale dans La peau blanche de Joël Champetier », Voix plurielles: Revue de l'Association des professeur.e.s de français des universités et collèges canadiens (APFUCC), ID : 10.26522/vp.v17i1.2469


Métriques


Partage / Export

Résumé 0

L’article s’intéresse à la figure de la femme fatale rousse dans le roman d’horreur québécois La peau blanche (2003) de Joël Champetier. Si les criminelles de Champetier reprennent des traits stéréotypiques liés à la rousseur genrée au féminin, tels que la sexualité perverse et la criminalité, nous observons comment ces personnages offrent aussi un potentiel féministe progressiste, entre autres parce qu’ils constituent un groupe féminin non repentant et victorieux. C’est cette tension entre persistance et subversion de la figure de la femme fatale rousse que nous proposons d’analyser chez Champetier.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en