La nature sauvage urbaine au regard des citadins : approche socio-spatiale. Application à trois villes de France

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25 juin 2019

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Laurène Coëtmeur, « La nature sauvage urbaine au regard des citadins : approche socio-spatiale. Application à trois villes de France », Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance, ID : 10670/1.bf1u3j


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Résumé En Fr

New environmental and land-use policies are trying to reconsider the place of spontaneous vegetation in cities, in order to develop urban biodiversity and improve quality of life of city dwellers. The differentiated management of green spaces leads to the increase of spontaneous flora in parks and garden, but also in every other public places. Our interviews show that these changes are not without any repercussions on the inhabitant’s perception about “wild nature” in the city, and that it’s hard for them to get used to this model of new urban vegetation. As a result, we tried to discover which factors could influence a better acceptation of spontaneous vegetation, or not, in the public spaces in three French cities: Rennes, Blois and Nuits-Saint-Georges. These territories present very disparate characteristics, but nevertheless one important shared policy: the establishment of a differentiated management of their public spaces. This will allow us to examine whether inhabitant’s perception depends on the municipality’s type of management and its characteristics. The results we present come from a quantitative questionnaire survey, carried out online through the three study sites.

Les nouvelles politiques environnementales et d'aménagement du territoire incitent à reconsidérer la place de la végétation spontanée en ville, afin de développer la biodiversité urbaine et ainsi améliorer la qualité de vie des citadins. La gestion différenciée des espaces verts a provoqué l'accroissement de la flore spontanée dans les parcs et jardins, mais également au sein de tous les autres espaces publics. Ces changements de modes d'entretien ne sont pas sans répercussion sur la perception des habitants concernant ce retour de la « nature sauvage » en ville. Beaucoup ont encore du mal à s’habituer à ce modèle de végétalisation de l’espace. Par conséquent, nous avons recherché quels différents facteurs s’avèreraient capables d’amener à l’acceptation de la végétation spontanée dans l’espace public, sur trois villes françaises : Rennes, Blois et Nuits-Saint-Georges. Ces terrains, aux caractéristiques très disparates, ont néanmoins un point commun pertinent pour notre étude : la mise en place d’une gestion différenciée des espaces publics. Cela permettra donc d’examiner les éléments influant la perception des citadins, et en particulier de déterminer si celle-ci est fortement liée à la politique des communes en termes d’information et de communication. Les résultats présentés sont le produit d’une enquête quantitative par questionnaires effectués en ligne au sein des trois lieux d’études.

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