Éléments pour une analyse de l'air des Alpes dans quelques « romans de sana »

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2009

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À l’ombre de La montagne magique se tiennent quelques pièces francophones, mineures et sanatoriales de littérature. Analysant des passages de René Burnand (Une ville sur la montagne) et de Robert de Traz (Les heures de silence), cet article entreprend d’éclairer les entrelacs éthiques, épistémologiques et esthétiques des représentations de l’air des Alpes aux temps des sanatoriums (vaudois). Pour éviter de grands termes philosophiques, la formule qui suit pourrait résumer l’article. Le bon air des Alpes est bon, parce qu’il est « bien beau ».

The Good Air of the Alps in some Sanatoria’s NovelsIn a shady dale at the foot of Thomas Mann’s Magic Mountain one can encounter several minor French literary pieces depicting life in Swiss sanatoria. This essay focuses on passages from René Burnand’s Une ville sur la montagne and René de Traz’s Les heures de Silence and analyzes the ethical, epistemological and aesthetic intertwining of representations of the good mountain air at the time of the sanatoria in the canton Vaud. Should one try to avoid bombastic philosophical terms, one could sum up this essay by saying that the reason why the good air of the Alps is so good is because it is « jolly pretty ».

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