Post Waterloo: Napoleon’s clandestine messages

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2020

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Peter Hicks, « Post Waterloo: Napoleon’s clandestine messages », Napoleonica. La Revue, ID : 10670/1.ecrmnv


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Détenu par les Britanniques de juillet 1815 à mai 1821, Napoléon se livra à de nombreuses tentatives variées de communications clandestines. Une communication célèbre, vendue aux enchères, témoigne de ces essais de communication avec les libéraux britanniques à bord du Bellerophon et du Northumberland. De même, une fois à Sainte-Hélène, Napoléon à Longwood tenta d’échanger avec l'Europe via des messages cryptés cachés dans la presse écrite, que les gouvernements britannique et autrichien ont échoué dans leur collaboration à les repérer et intercepter. Enfin, via les chirurgiens à son service, O’Meara, Stokoe et Verling, sans parler des capitaines de storeships, etc., Napoléon dépensa beaucoup d’argent pour maintenir les canaux ouverts avec sa famille et ses partisans ailleurs dans le monde. Bien que l’existence de cette correspondance secrète soit très commentée, très peu de son contenu a survécu. Cet article est une tentative de rassembler les textes survivants (et les références à des textes absents) et de passer en revue les tentatives continues d’un Napoléon encore relativement jeune pour organiser son rapatriement et revenir à la vie politique de l’Europe.

In British custody from July 1815 until May 1821, Napoleon engaged in many different attempts at clandestine communications. A celebrated communication, sold at auction, testifies to attempts to communicate with British liberals whilst on board Bellerophon and Northumberland. Likewise, once on St Helena, Napoleon at Longwood attempted communications with Europe via cryptic messages hidden in the printed press, which the British and Austrian governments did not ‘play well together’ in attempting to spot and intercept. Finally, via his medical attendants, O’Meara, Stokoe and Verling, not to mention captains of storeships, etc, Napoleon would appear to have spent a great deal of money keeping the channels open with his family and supporters elsewhere in the world. Whilst much is made of this secret correspondence, very little of the material survives. This paper is an attempt to bring the surviving texts (and references to absent texts) together and to survey (still relatively young) Napoleon’s continued attempts to effect his repatriation and return to the political life of Europe.

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