Répétition et oblitération de la mort dans le cinéma occidental

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Selon nous, le début des années soixante-dix se présente comme le seuil d’une nouvelle ère et de représentations inédites de la mort au cinéma. Alors que les derniers westerns spaghettis s’évanouissaient des écrans, de nouvelles formes de mort répétitive et psi ritualisé que cela apparurent. Cette évolution pris d’abord place dans la science-fiction New Age avant de migrer vers le genre de l’horreur. Les années passèrent et virent l’apparition du cinéma pour adolescent et des héros de comic book et leur combats contre des personnages imaginaires qui participèrent à distancier les spectateurs des traumas liés au meurtre. Tuer ou être tué a envahi les écrans de cinéma comme le limon culturel de l’Occident. Dans cet article, nous examinerons l’histoire des représentations de la mort depuis quarante ans.

The early years of the 1970s marked the threshold to a new era and unheard ways of representing death in movies. As the last spaghetti westerns faded into the distance, new forms of repetitive and less ritualized death appeared. This evolution began in New Age SF movies before migrating to the horror genre. The passing years saw the advent of teen movies and comic book heroes, who, in their fight against imaginary beings, caused a further distancing of the spectator with the trauma of murder. ‘Kill or be killed’was the new leitmotif of the movie screen and the cultural ferment of Western culture. This paper examines how death has been represented in Western cinema over the past forty years.