22 août 2019
Nessrine Naccach, « Quand Schéhérazade (par une distraction magique du copiste) se met à raconter l'histoire des 1001 Nuits », Histoires de femmes, ID : 10670/1.fforyv
Tout le monde imaginait qu'il y avait deux ouvrages. Personne ne pensa que le livre et le labyrinthe étaient un seul objet. Le Pavillon de la Solitude Limpide se dressait au milieu d'un jardin peut-être inextricable; se fait pour avoir suggéré aux hommes un labyrinthe physique. Ts'ui Pên mourut; personne, dans les vastes terres qui lui appartinrent, ne trouva le labyrinthe; la confusion qui régnait dans le roman me fit supposer que ce livre était le labyrinthe. Deux circonstance me donnèrent ...