Que signifie le « primat de la raison pratique » en théorie de la connaissance ?

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1 janvier 2008

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Volume 4 (2008)

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Numéro 3: Théorie et pratique (Actes n°1)

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Arnaud Dewalque, « Que signifie le « primat de la raison pratique » en théorie de la connaissance ? », Bulletin d'Analyse Phénoménologique, ID : 10670/1.fwbuhp


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Partant du constat que la majeure partie des débats concernant un éventuel « primat de la raison pratique » se jouent pour ainsi dire en amont de la phénoménologie husserlienne, j’entreprends d’abord de retracer les deux sources de la thèse du « primat de la raison pratique », telle qu’elle est défendue dans l’école néokantienne de Bade, à savoir la source kantienne-fichtéenne, qui concerne le caractère « normatif » du critère de validité de la connaissance, et la source brentanienne-bergmannienne, qui concerne le caractère « pratique » des actes judicatifs. J’examine ensuite brièvement les deux stratégies développées respectivement par Rickert et par Lask pour écarter l’objection de « moralisme » : l’idée d’un « parallélisme logico-éthique » (Rickert) et la critique du concept de Sollen (Lask).

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