La région théicole d'Ijenda (Burundi) : économie et société, 1965-2011

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21 juin 2016

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Éric Ndayisaba, « La région théicole d'Ijenda (Burundi) : économie et société, 1965-2011 », Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance, ID : 10670/1.fyu5dw


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Le Burundi est un petit pays à cheval entre l’Afrique Centrale et Orientale, à l’économie familiale prédominante. Il intégra la théiculture depuis le début des années 1960 pour diversifier ses recettes d’exportations, longtemps dominées par le café. Le théier trouva ses conditions optimales sur les hauteurs de la Crête Congo-Nil où furent mis en place des plantations étatiques et des théicultures paysannes, reparties dans 5 régions, du Nord au Sud, Buhoro, Rwegura, Teza, Ijenda et Tora ; sous l’encadrement de l’Office du Thé du Burundi (OTB). La région d’Ijenda est la seule où toutes les superficies théicoles sont intégrées dans les exploitations paysannes. Cette nouvelle « économie-monde », est-elle profitable à la base comme elle le semble au sommet ? Cette étude constate une faiblesse du revenu théicole et du pouvoir d’achat de l’exploitant suite aux défis divers, liés au marché, à l’organisation de la filière et à la paysannerie burundaise. Elle reconnaît, néanmoins, l’importance de la régularité de cette somme, qui allège la souffrance financière du paysan. Par ailleurs, la pratique de cette plante influence effectivement sur les mutations socio-économiques, à travers plusieurs domaines de la vie des populations.

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