La Sépulture comme aumône corporelle : Son inscription dans le septénaire des œuvres de miséricorde

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2020

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Jean-Christophe de Nadaï, « La Sépulture comme aumône corporelle : Son inscription dans le septénaire des œuvres de miséricorde », Revue des sciences philosophiques et théologiques, ID : 10670/1.il5hfd


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Chez les prédécesseurs de Thomas, l’aumône corporelle de la sépulture semblait devoir se résoudre dans l’aumône spirituelle de la prière en faveur du défunt, par l’avertissement que procure ce signe qu’est le tombeau. Thomas lui-même recueille cette tradition dans le Scriptum super Sententiis, mais l’infléchit notablement dans la Somme : elle est un acte de piété à l’adresse du corps lui-même, prenant le relai de l’affection, proprement humaine, que le défunt avait de sa propre chair.

In Thomas’s predecessors, the corporal alms of burial seemed to be resolved in the spiritual alms of prayer on behalf of the deceased, by the warning provided by the sign that is the tomb. Thomas himself recovers this tradition in the Scriptum super Sententiis, but redirects it noticeably in the Summa : it is an act of piety addressed to the body itself, following up on the properly human affection that the deceased had for his own flesh.

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