2011
Cairn
Bernard Pottier, « Newman 1801-1890 », Nouvelle revue théologique, ID : 10670/1.j3t9ei
Cette homélie, prononcée à l’occasion d’un colloque sur J.H. Newman, relève trois traits de sa physionomie spirituelle. D’abord, un sens de l’invisible allié à un réalisme suprasensible étonnant. Ensuite, une conception radicalement surnaturelle du christianisme qui lui a permis d’adopter dans ses combats une attitude qui relève de son eschatologisme. Enfin, une force à toute épreuve qu’il a puisée dans l’amitié divine et humaine.