“WELCOMING THE ORPHANS OF GLOBALISATION” : The Case for Seafarers’ Ministry

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2020

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Science et Esprit ; vol. 72 no. 3 (2020)

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Jason Zuidema et al., « “WELCOMING THE ORPHANS OF GLOBALISATION” : The Case for Seafarers’ Ministry », Science et Esprit, ID : 10670/1.kl94jl


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Résumé En Fr

More than 90% of the products and goods we consume on a daily basis made their way to us principally by sea. Yet, increasingly, port areas and the ships that serve them are not commonly frequented or understood. Completely unknown are the more than 1.75 million seafarers who sail those ships. Though they connect us to the goods of the world, these seafarers live disconnected from their families and home cultures. Recognizing this disconnection in the lives of seafarers, an ecumenical network of Christian chaplaincies around the world exists to provide a welcome in foreign ports. After outlining the basic rationale, work, and history of seafarers’ welfare, this essay elicits the practical examples of internet access for seafarers and of ministry of presence as examples of care that have shaped seafarers’ ministry. These examples frame our understanding of the chaplain’s work: the chaplain’s passion, character or theological understanding alone are not sufficient. We argue that more cooperation, training, and consistency in work are necessary for long-term effectiveness in seafarers’ ministry as in any other workplace chaplaincy.

Plus de 90 % des produits et marchandises que nous consommons quotidiennement nous sont acheminés principalement par voie maritime. Pourtant, les zones portuaires et les navires qui les desservent ne sont généralement pas fréquentés ou bien connus. Les quelque 1,75 million de marins qui naviguent sur ces navires sont, quant à eux, totalement inconnus. Bien qu’ils nous permettent l’accès aux biens du monde, ces marins vivent déconnectés de leur famille et de leur culture d’origine. Conscient de cette déconnexion, un réseau oecuménique d’aumôneries chrétiennes existe à travers le monde pour offrir un accueil dans les ports étrangers. Après avoir exposé les fondements, le travail et l’histoire de la poursuite du bien-être des gens de la mer, cet essai signale comme exemples de soins bien concrets apportés à ces derniers l’accès à Internet et le ministère de l’accueil et de la présence. À eux seuls, toutefois, la passion et le tempérament de l’aumônier ou la compréhension théologique qu’il peut avoir de son rôle ne suffisent pas. Plus de coopération, de formation et de cohérence dans le travail s’avèrent nécessaires pour assurer, comme dans toute autre forme de ministère, une efficacité à long terme dans l’intervention pastorale auprès des gens de la mer.

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