Systems to support scholarly social media: a qualitative exploration of enablers and barriers to new scholarship in academic medicine

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2021

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Canadian Medical Education Journal ; vol. 12 no. 6 (2021)

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©, 2021Teresa MChan, BrandonRuan, DanielLu, MarkLee, YusufYilmaz



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Teresa M Chan et al., « Systems to support scholarly social media: a qualitative exploration of enablers and barriers to new scholarship in academic medicine », Canadian Medical Education Journal / Revue canadienne de l'éducation médicale, ID : 10.36834/cmej.72490


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Résumé En Fr

Introduction: As academia begins to incorporate modern communication technologies into its scholarly structures, there are both enablers and barriers which foster academics’ uptake of these innovations. Those who are early adopters of academic social media - whether it be for education, research-related networking, or knowledge translation - may therefore be best positioned to highlight both enablers and barriers within their work environments.Methods: The authors conducted a constructivist grounded theory study to discern what prominent practitioners of academic social media (e.g. Twitter) have encountered in their careers. Participants were recruited via a snowball sampling technique and invited to participate in semi-structured interviews. Three investigators engaged in constant comparative analysis of incoming transcripts. To enhance rigour, we conducted an audit of the analysis and a participant member check.Results: Seventeen emerging influencers in the field of academic social media were recruited. After axial coding, the 30 enablers and 21 barriers to academic social media use were mapped to three spheres of influence: personal, institutional, and virtual. The investigators propose a framework that organizes these enablers and barriers around a tipping point where sustainability becomes possible.Conclusions: Multiple enablers and barriers were described to influence social media users within academic medicine. By organizing these facets into a personal, institutional, and virtual framework along a spectrum, we can begin to understand the underlying structures that potentiate the academic ecosystems in which social media and similar innovations may flourish.

Introduction : Alors que le milieu universitaire commence à intégrer les technologies de communication modernes dans ses structures d’enseignement, il existe à la fois des facteurs favorables et des obstacles à l’adoption de ces innovations par les chercheurs. Les premiers adoptants des réseaux sociaux scientifiques, que ce soit dans un cadre éducatif, de réseautage lié à la recherche ou d’application des connaissances, sont sans doute les mieux placés pour mettre en évidence aussi bien les facteurs favorables que les facteurs défavorables présents dans leur environnement de travail.Méthodes : Les auteurs ont mené une étude selon la théorisatoin ancrée qui s’inscrit dans un courant constructiviste afin de cibler les éléments de l’expérience d’importants utilisateurs des réseaux sociaux scientifiques (p. ex. Twitter). Les participants ont été recrutés par échantillonnage en boule de neige et invités à des entretiens semi-structurés. Trois chercheurs ont analysé les transcriptions reçues selon la méthode de la comparaison constante. Par souci de rigueur, nous avons procédé à une vérification de l’analyse et à un contrôle des participants.Résultats : Dix-sept influenceurs émergents dans le domaine des réseaux sociaux scientifiques ont été recrutés. Après un codage axial, les 30 catalyseurs et les 21 obstacles à l’utilisation des réseaux sociaux scientifiques ont été mis en correspondance avec trois sphères d’influence : personnelle, institutionnelle et virtuelle. Les chercheurs proposent un cadre qui organise ces catalyseurs et ces obstacles autour d’un point de basculement où la durabilité devient possible.Conclusions : De multiples facilitateurs et obstacles ont été décrits pour influencer les utilisateurs de réseaux sociaux dans le domaine de la médecine universitaire. La classification de ces facteurs sur une échelle par type de cadre (personnel, institutionnel et virtuel) laisse entrevoir les structures sous-jacentes des écosystèmes universitaires qui sont propices au développement des réseaux sociaux et des innovations de ce type.

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