De l’anxiété dans la congruence : de la congruence dans l’anxiété

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2020

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Bernie Neville et al., « De l’anxiété dans la congruence : de la congruence dans l’anxiété », Approche Centrée sur la Personne. Pratique et recherche, ID : 10670/1.lb3o9s


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Søren Kierkegaard propose que c’est notre capacité au désespoir et à l’anxiété qui fait que nous sommes humains. Il suggère que le désespoir est une indication de notre capacité à être plus que ce que nous sommes dans l’instant. Nous ressentons l’anxiété et le désespoir parce que notre potentiel est toujours plus grand que nous-mêmes dans l’instant, quand notre processus vivant est bloqué ou frustré. Tant que nous ne sommes pas tout ce que nous pouvons être, nous sommes anxieux, que nous en soyons conscients ou non. Même sans notre anxiété existentielle, nous avons des raisons suffisantes pour être anxieux. Nous percevons une anxiété cosmique, une anxiété politico-sociale, une anxiété environnementale. Le monde ne va pas bien. Nous pouvons essayer de séparer notre conscience de notre expérience par nos techniques de déni diverses, mais notre organisme sait mieux, et notre déni ne fait qu’augmenter notre stress. La congruence implique de sortir du déni, et d’être ouvert à notre anxiété organismique.

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