VALÉRIE CHAROLLES. LIBERALISMUS VERSUS KAPITALISMUS VALÉRIE CHAROLLES. LIBERALISM VERSUS CAPITALISM VALÉRIE CHAROLLES. LE LIBÉRALISME CONTRE LE CAPITALISME De En Fr

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1 avril 2021

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Libéralisme

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Dominique Desbois, « VALÉRIE CHAROLLES. LE LIBÉRALISME CONTRE LE CAPITALISME », Archive Ouverte d'INRAE, ID : 10670/1.ln5bhw


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Le libéralisme contre le capitalisme Valérie Charolles Gallimard, Essay Folio n°667, 383 S. Diese überarbeitete und erweiterte Taschenbuchausgabe bietet dem Leser eine Reflexion, die vorschlägt, dem Ökonomismus, der unsere Gesellschaft beherrscht, zu entkommen. Dieser Ökonomismus nimmt die Form eines Zwanges an, der von ökonomischen Kräften ausgeübt wird, die uns zur Ohnmacht verurteilen. Zu diesem Zweck schlägt das Buch vor, die Grundlagen der Wirtschaft zu hinterfragen, zunächst in den Buchhaltungsprinzipien, die das Funktionieren der Unternehmen regeln, und stellt fest, dass das Humankapital in ihren Büchern nicht vorkommt. Diese Situation ist umso paradoxer, als die neue Wirtschaft zunehmend auf "Humankapital" basiert. In seinem Werk "The Wealth of Nations" setzt sich Adam Smith sehr kritisch mit Kapitaleinkommen auseinander. Für ihn muss das freie Spiel des Marktes eine gewisse Form der Gleichheit angesichts der vom Wettbewerb getroffenen Auswahl gewährleisten. Wie Adam Smith ist der Autor der Ansicht, dass der wirtschaftliche Reichtum aus der Arbeit und nicht aus dem Kapital kommt, denn Arbeit ist die theoretische Quelle allen Reichtums. Von der Beobachtung einer entwerteten Arbeit gehen wir zum Problem des Wertes der Arbeit über, bei dem die Arbeit nicht mehr nur als Last betrachtet wird, sondern gleichberechtigt mit dem Kapital in einer Weise behandelt würde, die den Grundlagen des Liberalismus besser entspricht.

Le libéralisme contre le capitalisme Valérie Charolles Gallimard, essay Folio n°667, 383 p. This revised and enlarged paperback edition provides readers with a reflection that aims to escape the economism that dominates our society. This economism takes the form of a constraint exerted by economic forces that condemn us to impotence. To this end, the book proposes to question the foundations of the economy first in the accounting principles that govern the functioning of companies, noting that human capital is absent from their books. This situation is all the more paradoxical as the new economy is increasingly based on "human capital". In his work "The Wealth of Nations", Adam Smith is very critical of income from capital. For him, the free play of the market must ensure a certain form of equality in the face of the selection made by competition. Like Adam Smith, the author considers that economic wealth comes from labour and not from capital, because labour is the theoretical source of all wealth. From the observation that labour is devalued, we move on to the problem of labour-value, where labour is no longer considered only as a burden but is treated on an equal footing with capital, in a way that is more consistent with the fundamentals of liberalism.

Le libéralisme contre le capitalisme Valérie Charolles Gallimard, essai Folio n°667, 383 p. Cette édition revue et augmentée dans un format poche met à disposition des lecteurs une réflexion qui se propose d'échapper à l'économisme qui domine notre société. Cet économisme se présente sous la forme d'une contrainte exercée par les forces économiques qui nous condamnent à l'impuissance. À cet effet, l'ouvrage se propose d'interroger les fondements de l'économie d'abord dans les principes comptables qui régissent le fonctionnement des entreprises, constatant que le capital humain est absent de leurs livres de comptes. Situation d'autant plus paradoxale que la nouvelle économie repose de plus en plus sur le « capital humain ». Dans son oeuvre « La richesse des nations », Adam Smith se montre très critique vis à vis des revenus tirés du capital. Pour lui, le libre jeu du marché doit assurer une certaine forme d'égalité devant la sélection opérée par la concurrence. À l'instar d'Adam Smith, l'auteure considère que la richesse économique provient du travail et non du capital car le travail est source théorique de toute richesse. Du constat d'un travail dévalorisé, on passe ainsi à la problématique de la valeur-travail où le travail n'est plus seulement considéré comme une charge mais serait traité sur un pied d'égalité avec le capital de façon plus cohérente avec les fondamentaux du libéralisme.

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