Carlotta Ikeda : entre exotisme et érotisme, construction d’une figure trouble et subversive

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23 avril 2020

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Lamolière Maëva, « Carlotta Ikeda : entre exotisme et érotisme, construction d’une figure trouble et subversive », Loxias-Colloques - Collection d'actes de colloques du CTEL, ID : 10670/1.m5uocr


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Nous nous intéresserons ici à la danseuse de butô, Carlotta Ikeda (1941-2014), qui s’est implantée en France dans les années 1980 avec sa compagnie, Ariadone, souvent qualifiée comme étant « la seule compagnie de femmes », dans un univers butô fortement marqué par des figures masculines. Les critiques journalistiques de l’époque insisteront particulièrement sur la dimension « féminine » d’Ariadone et un phénomène d’exotisation, d’érotisation et de féminisation se cristallisera autour de cette compagnie. Cependant, cet article cherche à démontrer que ce leitmotiv du féminin cache un rapport beaucoup plus complexe au genre et que la figure féminine travaillée par la danse d’Ikeda se situe bien au-delà de cette assignation.

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