21 février 2021
Violette Salerno, « Perrette Basilic, "Si je sçavoys que mon oeil meist à mort", 1542 », Fleur des Tanneurs, ID : 10670/1.n6q8xb
"Response de ladicte dame." Introduction Dans un texte précédent, François Habert écrit à Perrette Basilic qu'elle est si belle que son œil est plus dangereux que celui du monstre mythologique dont elle porte le nom et qu'il suffit de la regarder pour tomber amoureux d'elle. Dans le dizain qui suit, cette dame, dont on ne connaît rien d'autre que ce que ce bref échange nous laisse entrevoir, répond au poète. Texte Si je sçavoys[1] que mon oeil meist[2] à mort Le regardant, il seroit arraché...