2013
Cairn
Agnès Bressolette, « Comment ne pas réduire la fin de vie à une question binaire ? Tenir la complexité », Jusqu’à la mort accompagner la vie, ID : 10670/1.nhchxi
Un événement qui nous atteint dans notre corps ne peut être réduit à une seule dimension d’effraction paralysante. En même temps se vivent de multiples autres affects dont il s’agit de prendre la mesure comme un premier pas pour penser ce qui se vit ; de réaliser ce qui est à l’œuvre dans ce temps de vie bien particulier pour le patient, pour son entourage, et pour les équipes soignantes. Nous envisageons l’apoplexie d’Haendel, puis la perte du contrôle des sphincters dans la période de fin de vie, et à travers ces événements, les questions du paradoxe, du découragement et de la honte