L’écriture chez Henrik Ibsen, un savant nouage : Accueil du réel et problématique paternelle. Essai psychanalytique

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2007

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Françoise Decant, « L’écriture chez Henrik Ibsen, un savant nouage : Accueil du réel et problématique paternelle. Essai psychanalytique », Hypothèses, ID : 10670/1.pjd0ki


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Plus de 25 pièces de théâtre, de très nombreux poèmes, des articles sur le théâtre, l’œuvre d’Ibsen reste aujourd’hui souvent méconnue même si certaines de ses pièces sont régulièrement mises en scène. Pourtant dès leur parution, les écrits d’Ibsen déclenchèrent l’enthousiasme de ses contemporains et notamment de Freud et des analystes de sa génération, Rank, Ferenczi, Jung, Groddeck, Reich, Steckel, le pasteur Pfister, qui virent dans la dramaturgie du poète un théâtre de l’inconscient, susceptible d’éclairer les balbutiements de la psychanalyse. De son côté, Joyce apprit le norvégien pour lire Ibsen dans le texte. Cet ouvrage fait revivre les débats qui ont agité la communauté analytique du début du siècle autour de l’œuvre d’Ibsen et interroge la création littéraire au regard du symptôme. L’auteur montre qu’Ibsen a voué sa vie à tisser son symptôme, métaphorisation du Nom-du-père, par le biais de son travail d’écriture conçu comme un savant nouage.

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