12 août 2020
dissidences, « Florence Pazzottu, j'aime le mot homme et sa distance (cadrage - débordement), Nantes, éditions Lanskine, 2020, 200 pages, 18 €. », Dissidences : le blog, ID : 10670/1.psg0q4
Un compte rendu de Frédéric Thomas Auteure prolixe1, ayant récemment réalisé son premier film, Florence Pazzottu est l'une des grandes poétesses actuelle de langue française. Le sous-titre de J’aime le mot homme et sa distance (« cadrage-débordement ») emprunte au rugby, alors que les textes ici rassemblés empruntent, eux, à diverses formes, en vers et prose, entre récit aux couleurs autobiographiques et poèmes-sms, en passant par le détournement de contes japonais du Xe siècle (les Conte...