Mise en mots des frontières et des discriminations : approche sociolinguistique des entraves au séjour des étudiants étrangers à Rennes

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2013

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Irene García-Aranda Gonzalo, « Mise en mots des frontières et des discriminations : approche sociolinguistique des entraves au séjour des étudiants étrangers à Rennes », Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance, ID : 10670/1.qvvn16


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Ce mémoire porte sur les étudiants étrangers, depuis la construction du projet de mobilité jusqu'au moment présent. Je me suis penchée sur cette population car elle constitue une forme spécifique de migrations, comme le note Abdelkader Latreche (2001). Effectivement, les mobilités étudiantes peuvent être considérées ainsi par les chercheurs et par les pouvoirs publics parce qu'elles sont prises au cœur d'enjeux internationaux comme le reste des migrations ; elles peuvent être considérées ainsi par les personnes concernées parce qu'elles supposent le même lot de dimensions affectives que le reste des migrations. Je tiens à justifier ce lien entre les migrations en général et la mobilité étudiante car, à l'origine de cette enquête, est mon intérêt pour l'étude des migrations. Celles-ci sont, de mon point de vue, une source de rencontres, de confrontations, et pour cela, elles peuvent entraîner la mise à distance, la création de frontières, mais aussi des opportunités d'échanges qui nous conduisent à remettre en question nos normes sociales et, en définitive, à adopter une attitude plus tolérante.

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