« A nos sœurs indigènes… le meilleur de notre affection ». Le militantisme socialiste féminin dans l’Oranie de l’entre-deux-guerres

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« La classe des travailleurs indigènes est encore plus pitoyable que celle des prolétaires européens car leurs conditions de vie sont bien plus mauvaises. Et au dessous d’eux, tout au fond de l’abîme des misères, il y a encore les femmes des indigènes. (…) Pour nous SFIO tous les travailleurs sont nos frères, et plus ils sont opprimés, plus ils nous sont chers. C’est dire à nos sœurs indigènes qu’elles ont le meilleur de notre affection ». C’est en ces termes que Jeanne Coulon, militante soci...

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