3 juillet 2017
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Anne Devarieux, « Ce que Michel Henry doit à Maine de Biran », Presses universitaires de Louvain, ID : 10670/1.r9h744
Ne pas oublier Biran, répéter à l’envi le génie de sa découverte pour enfin l’égaler, tel est le mouvement qui structure, anime et féconde la pensée de Michel Henry, jusqu’à son dernier opus. La reprise par Henry du geste et des concepts majeurs biraniens est d’abord une invite à ne pas oublier le sujet réel, l’ego concret soit « l’être du mouvement subjectif », le Soi vivant, et la mise en avant d’un dualisme « ontologique » dont le philosophe de l’effort aurait eu seul et le premier l’intui...