Choisir d’être archetière : un parcours entre différents métiers du bois

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22 novembre 2015

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Enquête ethnologique sur Les "nouveaux luthiers". Renaissance d'un métier

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Catherine Baroin et al., « Choisir d’être archetière : un parcours entre différents métiers du bois », Ganoub, archives sonores de la recherche, ID : 10670/1.rddvpn


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Résumé 0

Après des études de sculpture sur bois, Catherine Baroin travaille tout d’abord sur les ornements de meubles, puis est engagée en 1979 à la SOFRALUTH (Société française de lutherie), entreprise de Mirecourt où elle sculpte des têtes de violons. Elle acquiert progressivement le savoir-faire de la tradition luthière. Ensuite, confrontée à la fermeture de l’entreprise en 1985 et craignant que la nouvelle direction qui la reprend ne favorise la mécanisation des tâches, elle décide de chercher un autre emploi. C’est dans l’atelier de l’archetier de Gilles Duhaut à Mirecourt qu’elle va se former aux différentes opérations de fabrication des archets et travailler. En 1991, elle rejoint une autre entreprise mais la mécanisation mise en oeuvre ne lui convenant pas, elle s’installe à son compte après la fermeture de l’atelier. Travaillant en binôme avec une luthière dans l’atelier de René Morizot, elle dit s’être épanouie dans cette collaboration. Cependant, suite à la détérioration de l’atelier (inondation, cambriolages) et au départ de sa collègue luthière, elle choisit de se remettre à travailler chez elle. Enfin, l’archetière évoque les difficultés financières inhérentes à sa situation, la concurrence, la crise de la pratique musicale.

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