Résurgence à l’ère numérique : la reproduction 3D à l’oeuvre : pratiques d’une traçabilité en mutation dans le contexte de l’art

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20 juin 2017

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Alexandra Brun, « Résurgence à l’ère numérique : la reproduction 3D à l’oeuvre : pratiques d’une traçabilité en mutation dans le contexte de l’art », Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance, ID : 10670/1.rqahx8


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Résumé En Fr

This master’s thesis examines our relationship to ruin and destruction through the use of digital reproduction in the context of art. Keeping traces of the past has always been the done thing and has enabled history to survive through different mediums. The arrival of digital technology enables us to propose other alternatives to keep our culture in mind and has gained importance in this conservation undertaking. But how are these new means of traceability used in the field of art? It is through current events, the growing interest in digital technology, and the variety of its «results», that this work has been thought out. For this research we have been interested in artists using similar techniques to those of computer graphics and archaeologists, as well as the techniques used for particular disciplines such as video games. From these choices emerge questions about memory, ruin, destruction, vandalism, virtual reality, simulation as well as the relationship with matter. Through these sets of themes, the study tries to highlight a certain tension between the survival and the disappearance of the object, and enables us to re-examine our relationship with culture.

Ce mémoire interroge notre rapport aux ruines et à la destruction à travers l’usage de la reproduction numérique dans le contexte de l’art. Garder des traces du passé a toujours été de rigueur et a permis à l’histoire de perdurer grâce à différents mediums. L’arrivée du numérique permet de proposer d’autres alternatives pour garder en mémoire notre culture et a pris de l’importance dans cette entreprise de conservation. Mais comment se manifestent ces nouveaux moyens de traçabilité dans le champ de l’art ? C’est au travers de l’actualité et de cet intérêt grandissant pour le numérique, et la variété de ses « résultats », que ce mémoire a été pensé. Pour cette recherche nous nous sommes intéressés à des artistes ayant recours à des techniques similaires à celles des infographistes et archéologues, ainsi que celles utilisées pour des disciplines particulières telles que les jeux vidéo. De ces choix se dégagent des questions sur la mémoire, la ruine, la destruction, le vandalisme, le virtuel, la simulation ainsi que le rapport avec la matière. Par le biais de ces thématiques, l’étude cherche à mettre en évidence une certaine tension entre la survie et la disparition de l’objet, et permet de réinterroger notre rapport à la culture.

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