Tant que mon corps n’aura pas disparu… : Pour un art du tatouage comme aide au travail de deuil

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2019

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Simone-Aimée Le Mazou Hafner, « Tant que mon corps n’aura pas disparu… : Pour un art du tatouage comme aide au travail de deuil », Études sur la mort, ID : 10670/1.s3owh0


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Ce travail explore les synergies pleines de promesses entre un art du tatouage et le travail de deuil. En renouant avec sa fonction ancestrale éclairée des connaissances de la psychologie moderne en la matière, l’artiste tatoueur se présente comme ayant une nouvelle proposition d’aide pour l’endeuillé. De l’élaboration du dessin, pensée comme un support à la quête de sens provoquée par la mort d’un proche, à la cérémonie de tatouage, utilisée comme un rituel de transformation de la douleur, l’art du Tatouage comme aide au travail de deuil se propose comme une aventure intérieure qui conduit l’endeuillé de la tristesse à la joie d’un renouveau.

This work explores the synergies full of promises between an art of the tattoo and the work of mourning. The artist tattooer appears as a new helper for the saddened. The elaboration of the drawing is thought as a support of the quest of sense caused by the death. The ritual of tattooing is used as an attempt of transformation of the pain. Art of tattoo becomes a help to the work of mourning like an internal adventure. It leads the saddened from sadness to the enjoyment of a revival.

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