Palace Networks at the Court of Carlos II: Maria Anna of Palatinate-Neuburg’s Confessor, Gabriel Pontifeser, and the Queen’s German Chamber (1690–1700)

Fiche du document

Date

2020

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Relations

Ce document est lié à :
Renaissance and Reformation ; vol. 43 no. 4 (2020)

Collection

Erudit

Organisation

Consortium Érudit

Licence

© All Rights Reserved, 2021Canadian Society for Renaissance Studies / Société canadienne d'études de la Renaissance; Pacific Northwest Renaissance Society; Toronto Renaissance and Reformation Colloquium; Victoria University Centre for Renaissance and Reformation Studies


Sujets proches En

Article

Citer ce document

Valentina Marguerite Kozák, « Palace Networks at the Court of Carlos II: Maria Anna of Palatinate-Neuburg’s Confessor, Gabriel Pontifeser, and the Queen’s German Chamber (1690–1700) », Renaissance and Reformation / Renaissance et Réforme, ID : 10.33137/rr.v43i4.36384


Métriques


Partage / Export

Résumé En Fr

The arrival in Madrid in 1690 of the future queen consort, Maria Anna of Palatinate-Neuburg (1667–1740), second wife of the Spanish king Carlos II (1661–1700), also brought about the establishment of an unofficial palace faction known as the German Chamber. Since the members of this faction were part of Maria Anna’s household, the analysis of their social activities gives insight into court practices during the last decade of Carlos II’s reign. This article intends to shed light on the new networks and agency of members of the German Chamber at the Madrid court, in particular, that of the queen’s confessor, Gabriel Pontifeser di Chiusa. By investigating the activities and new court practices within the queen consort’s household that enabled Pontifeser to build secure networks and achieve importance, the article reveals the significant power wielded by foreign courtiers at the Madrid court between 1690 and 1700.

L’arrivée à Madrid de la future reine et seconde épouse du roi d’Espagne Charles II (1661–1700), Marie-Anne de Neubourg (1667–1740), engendra en 1690 la création d’une faction officieuse connue sous le nom de chambre allemande. Étant donné que les membres de cette faction faisaient partie de la maison de la reine, l’analyse de leurs activités sociales donne un aperçu des usages de la cour durant la dernière décennie du règne de Charles II d’Espagne. Cet article analyse les réseaux et l’influence des membres de la chambre allemande à la cour de Madrid, en particulier ceux du confesseur de la reine, Gabriel Pontifeser di Chiusa. En se penchant sur les pratiques et les nouveaux usages au sein de l’entourage de la reine, cet article met en évidence le pouvoir exercé par les courtisans étrangers à la cour de Madrid entre 1690 et 1700.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en