Le design pour le(s) vivant(s) : appréhender sans optimiser

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2019

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Elise Rigot, « Le design pour le(s) vivant(s) : appréhender sans optimiser », Sciences du Design, ID : 10670/1.sfpr3g


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Quels espaces de création existe-t-il pour les designers qui souhaitent travailler avec les procédés de bio-fabrication ? Que ce soit dans l’attention aux opérations techniques ou la dé-couverte des imaginaires entourant les bio-artefacts, cet article invite les designers à porter un regard critique sur les bio-artefacts produits dans les laboratoires technoscientifiques. Nous y étudions en quoi le design peut opérer une conduite de la dé-couverte, allant dans le sens d’une authentification des techniques. Notre hypothèse est que le design, en portant un nouveau regard sur le faire technique, peut travailler à de nouvelles formes de bio-artefacts où le vivant ne sera pas réduit à une brique fonctionnelle, un optimum ou un modèle à copier.

What creative opportunities exist for designers who wish to engage in bio-fabrication processes ? Whether it’s in the care of technical operations or the dis-covery of the fantasies that surround bio-artefacts, this article invites designers to have a critical look at bio-artefacts produced in technoscientific laboratories. We study how design can conduct a discovery process, leading to the authentication of techniques. Our hypothesis is that design, by taking a new glance at the technical fact, can work on new forms of bio-artefacts where the livings will not be reduced to a functional brick, an optimum or a model made to be copied.

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