Les cauchemars : Ces sombres messagers de la nuit

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2016

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Martine Menès, « Les cauchemars : Ces sombres messagers de la nuit », Psychanalyse et clinique, ID : 10670/1.t0xs1k


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Les songes, ces visiteurs nocturnes, vont du rêve le plus banal, bien que toujours obscur, au cauchemar le plus troublant. Le sommeil est riche de ces fantômes de la nuit, que le dormeur s’en souvienne ou non. La frontière entre rêve et cauchemar paraît parfois floue et peut être facilement franchie. Le rêveur glisse alors de l’un à l’autre dans des affects partagés entre plaisir fugace et douleur nostalgique. Mais alors, y a-t-il une spécificité du cauchemar ? Est-il simplement un rêve comme un autre qui, bien que de mauvaise compagnie, répondrait aux mêmes règles ? Ou bien est-il un cas limite de rêves qui n’aurait pas les mêmes causes et ne viserait pas les mêmes objectifs ? Partant de la constatation, comme le fit Freud, que les premières expériences oniriques des enfants sont plutôt de l’ordre des cauchemars, Martine Menès s’intéresse à ce qu’il en reste dans les cauchemars ultérieurs. Et en particulier dans ceux dits traumatiques qui a priori sembleraient ne dépendre que de faits actuels. L’ouvrage est ponctué de récits (rêves, cauchemars) relatés dans le style poétique qui est la narration la plus proche du discours de l’inconscient.

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