2014
Cairn
Évelyne Grossman, « Artovarina : un théâtre résurrectionnel », Littérature, ID : 10670/1.tbrjbz
La rencontre Novarina/Artaud eut lieu plus d’une fois. On ne racontera pas ici une histoire de famille, d’influence ou de filiation, mais une commune inquiétude – une interrogation partagée de l’inhumanité de la langue. Du coup de dés mallarméen aux anthropoglyphes-hiéroglyphes levés sur la page, se décèle une commune traversée de l’inhumain : Artovarina, corps-théâtre toujours en voie de surrection.