Amour, désir, jouissance : Le moment de la sublimation

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2020

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Erik Porge, « Amour, désir, jouissance : Le moment de la sublimation », Psychanalyse - Poche, ID : 10670/1.uhlwk3


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Montrer l’importance de la spécificité de la sublimation dans la psychanalyse par rapport aux œuvres d’art ou scientifiques habituellement prises comme exemple. Après Le ravissement de Lacan (érès, 2015) et La sublimation, une érotique pour la psychanalyse (érès, 2018), Erik Porge définit ce qui fait la spécificité de la sublimation pour la psychanalyse : sa fonction curative du symptôme, ainsi qu’un renouvellement de la conception de la fin d’une analyse et une articulation avec le discours analytique dans le public. Cette spécificité se produit dans la cure même (psychanalyse en intension) et elle concerne son achèvement ainsi que le passage de l’analysant à l’analyste. Elle doit aussi être reliée aux façons dont le psychanalyste intervient dans le discours public (psychanalyse en extension). Elle se pose comme articulation temporelle du désir de l’analyste (soutenu par un fantasme) à son identification sexuée, pulsionnelle sans refoulement.

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