24 décembre 2021
Rémi Mogenet, « Le grand poète Stefan Wul », Lettres du mont-Blanc, ID : 10670/1.wchirz
Aucun des trois romans que j'ai lus de Stefan Wul (c'est à dire Pierre Pairault, 1922-2003) ne m'a convaincu. L'Orphelin de Perdide (1958) était le plus joli et le plus émouvant, avec ses fleurs lumineuses et le destin d'un enfant en même temps un vieillard suite à des incohérences temporelles; Niourk (1957) avait une fin mystique délirante, après la vision d'un futur triste et dénué d'eau; Noô (1977) avait de beaux moments mais l'ensemble n'avait pas selon moi de sens distinct: l'auteur, ins...