Max ou la psychanalyse comme ouverture à une anthropologie

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2012

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Michel Boutin et al., « Max ou la psychanalyse comme ouverture à une anthropologie », Le Coq-héron, ID : 10670/1.xwo4bw


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Un groupe de travail du IVe Groupe s’est longuement interrogé sur la place des psychanalystes dans les institutions. Dans cet exposé issu de cette réflexion, deux psychanalystes essaient de préciser leur pensée sur ce sujet en montrant à travers un exemple de pratique clinique en quoi cette place de psychanalyste demeure fondamentale. Dans une institution, le psychanalyste n’a pas à « faire le psychanalyste », mais à être le témoin de ce que la psychanalyse dit de l’être humain. Ce point est capital, particulièrement en ces temps où l’être humain est souvent considéré comme une machine à réparer, en particulier par le monde médical, ou à manipuler par le monde politique, ou encore à gérer par le monde social. Telle n’est pas la perspective de la psychanalyse dès lors que l’on accepte de ne pas vouloir la réduire à une technique mais de l’envisager comme une interrogation sur l’homme qui, dès le commencement, est un être de parole. En référence à l’esprit de la psychanalyse, cet article tente de montrer à partir d’une histoire clinique et de l’organisation d’une institution, comment la dimension humaine reste centrale, ce qui permet à chacun, patients et soignants, de s’ouvrir à la vie et à l’autre.

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