Jean-Jacques Rousseau et la nature vraie

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Dans La Nouvelle Héloïse, on peut lire, au sein d'une lettre que Julie adresse à Saint-Preux:  Tu reçus du ciel cet heureux penchant à tout ce qui est honnête: n'écoute que tes propres désirs, ne suis que tes inclinations, naturelles.1 On reconnaît l'idée de l'être parfait que Rousseau plaçait dans la Nature. Peut-être était-elle liée à celle de la prédestination, que défendait Calvin. Certes, Rousseau admettait que la Nature était souvent corrompue par l'homme - qui la polluait de ses proje...

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