Il fallait s’y attendre, mais est réapparu dans les bagages des idées néolibérales, habitées toujours au fond par le mythe de l’homo economicus, le scientisme et sa volonté de tout expliquer par une raison qui n’a que de très loin rapport avec une méthodologie cartésienne bien comprise. Les imbéciles et les ignares croient toujours que leurs idées sont neuves et qu’ils sont des innovateurs ! Les plus cyniques exploitent la méconnaissance générale et la crédulité publique grâce à la complicité des médiocrates que l’information en continue devenue un produit à vendre et donc une communication, a érigé en arbitre d’un prêt à penser réduit aux émotions et aux lynchages. A ce que l’on nomme néolibéralisme de nos jours, s’ajoute naturellement car ils sont fils d’une même pensée, cet autre sophisme qu’est le « scientisme » ! Même si l’école autrichienne en économie a essayé de faire passer cette doctrine pour celle du clan haï des « planificateurs » ou « collectivistes », il faut bien constater, tout en restant le plus impartial qui soit, que les justifications « scientistes » se trouvent le plus souvent dans ceux qui apportent de l’eau au moulin des produits les moins défendables des firmes industrielles ! Ce n’est évidemment cela que nous avons voulu développer dans ce numéro en plaçant l’Intelligence comme principe : – « Intelligence et perceptions » entend intégrer différentes approches fondées sur la diversité des points de vue pour pouvoir appréhender cette part essentielle dans les organisations que sont – « Investissements et gouvernance », un lien ténu, lui-aussi circonstanciel du fait des différentes cultures entrepreneuriales dans le temps et dans l’espace.
Help, “scientism” is back! It was only to be expected but in the baggage of neoliberal ideas, always inhabited when it comes down to it by the myth of the homo economicus, scientism and its desire to explain everything through reason that from afar has a link with a well understood rational methodology has reappeared. Imbeciles and ignoramuses still believe that their ideas are new and that they are trail-blazers! The more cynical among them exploit general ignorance and public gullibility thanks to the complicity of supporters of mediocrity that information provided on an ongoing basis has become a product to sell and therefore a communication, has declared itself as a referee for readymade thinking reduced to emotions and lynching. That other sophism “scientism” is added naturally to what we call neoliberalism today because they are threads of the same thought! Even if the Austrian school of economics tried to get this doctrine across as that of the hated group of “planners” or “collectivists”, you have to note, while remaining as impartial as possible, that “scientist” justifications are most often found in those that add grist to the mill of the least defendable products of industrial firms! It is obviously not that that we wanted to develop in this issue by placing Intelligence as a principle: – “ Intelligence and perceptions” means integrating different approaches founded on the diversity of points of view to be able to understand this essential piece in organisations that are – “ Investments and governance”, a tenuous link, itself based on the circumstances of the different entrepreneurial cultures in time and space.
Era de esperar, pero reapareció en el bagaje de ideas neoliberales, aún habitadas por el mito del homo economicus, el cientificismo y su deseo de explicar todo por un razonamiento que solo tiene una relación muy distante con una metodología cartesiana bien entendida. ¡Los imbéciles y los ignorantes siempre creen que sus ideas son nuevas y que son innovadoras! Los más cínicos explotaron la ignorancia general y la credulidad pública gracias a la complicidad de los mediocritos de que la información continua convirtiéndose en un producto para vender y, por lo tanto, en una comunicación, ha recaudado como árbitro un préstamo para pensar reducido a emociones y linchamientos. ¡Lo que llamamos neoliberalismo hoy se agrega naturalmente porque son los hijos del mismo pensamiento, ese otro sofisma que es « cientificismo »! Aunque la Escuela de Economía de Austria ha tratado de aprobar esta doctrina para la del odiado clan de « planificadores » o « colectivistas », cabe constatar, aunque siendo lo más imparcial posible, que las justificaciones « cuentistas » se encuentran con mayor frecuencia en aquellos que lleve agua al molino de los productos menos defendibles de las compañías industriales. Obviamente, esto es lo que queríamos desarrollar en esta publicación situando la Inteligencia como principio: – « Inteligencia y percepciones » tiene la intención de integrar diferentes enfoques basados en la diversidad de puntos de vista para poder comprender esta parte esencial en las organizaciones que están - « Inversiones y gobernanza », un vínculo débil, también circunstancial debido a las diferentes culturas empresariales en el tiempo y el espacio.
