2024
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/vub6
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https://doi.org/10.4000/books.pur
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Thomas Morisset, « Conclusion de la seconde partie », Presses universitaires de Rennes
Pour conclure cette partie, repartons de l’intuition et de l’hésitation que nous avions décelées dans l’article de Mark Rosewater. L’intuition portait sur la séparation de l’appréciation mécanique et de l’appréciation de la saveur des cartes Magic en deux « échelles esthétiques » distinctes. Partant de cette question, nous en sommes arrivés à la conclusion que l’appréciation sensible technique n’était pas un cas particulier de l’appréciation esthétique, mais un analogue de celle-ci, structurée...