“Away, come away”: Moving Dead Women and Irish Emigration in W. B. Yeats’s Early Poetry

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22 juin 2017

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Hannah Simpson, « “Away, come away”: Moving Dead Women and Irish Emigration in W. B. Yeats’s Early Poetry », Études irlandaises, ID : 10.4000/etudesirlandaises.5101


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Résumé En Fr

Emigration and Ireland are closely entwined in cultural consciousness, yet little scholarly work addresses Irish emigration in W. B. Yeats’s poetry. I use the lens of Irish emigration to tackle another under-discussed phenomenon in Yeats’s early poetry: the physically moving, dead, female body. In the latter half of the nineteenth century, young unmarried women were emigrating from Ireland in historically unprecedented numbers, and this high emigration rate of Irish women parallels the recurrence of moving dead or supernatural women in Yeats’s pre-1900 poetry.

Bien que l’Irlande et l’émigration soient intimement liées dans l’imaginaire culturel, peu d’études se sont intéressées à l’émigration dans la poésie de W. B. Yeats. J’utilise le prisme de l’émigration pour aborder un autre phénomène peu étudié dans la première poésie de Yeats : le corps féminin mort mais mouvant. Dans la deuxième moitié du xixe siècle, un nombre inédit de jeunes femmes célibataires quittèrent l’Irlande, et ce taux d’émigration élevé de femmes irlandaises peut se lire en parallèle de la récurrence de femmes mortes ou surnaturelles en mouvement qui peuplent la poésie de Yeats avant 1900.

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