March 4, 2020
Amélie Faucheux, « De la justesse de la langue maternelle pour parler du génocide - précisions à l'article précédent. », Altérité & violence, ID : 10670/1.euekxr
Dans l'article précédent - Dis moi quelle langue tu parles, je te dirai qui tu comprends, il était question des écueils de la traduction et de l'importance d'une certaine maîtrise de la langue dans l'intercompréhension d'une rencontre. L'article soutenait que parler la langue de son interlocuteur n'était ni suffisant ni la seule méthode valable pour approcher la vérité d'un être et de son vécu. Innocent Ruzigana, guide du mémorial de Ntarama et spécialiste de grammaire et d’étymologie rwand...