2024
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/1210c
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https://doi.org/10.4000/1210c
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Frédéric Lordon et al., « Jouir d’être serf », ENS Éditions
La question de la servitude volontaire, considérée depuis un point de vue spinoziste, donne une drôle d’impression. La servitude ? Elle est notre condition presque irrémissible. Volontaire ? La volonté, entendue dans son sens ordinaire, est l’une de ces illusions que Spinoza pulvérise méthodiquement. La question de la servitude volontaire accolerait donc en quelque sorte une trivialité et une absurdité. Pour être complet cependant, il faut ajouter que la question n’en est pas moins d’une pertinence...