2024
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/12abx
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https://doi.org/10.4000/12abx
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Voyager, n’est‑ce pas, en quittant son horizon familier et ses repères familiaux comme amicaux, prendre le risque de la solitude ? Et devoir en prendre, bien souvent, son parti ? C’est ce que suggère en tout cas l’incipit des Rêveries du promeneur solitaire (1782) : « Me voici donc seul sur la terre, n’ayant plus de frère, de prochain, d’ami, de société que moi‑même. » Quels recours, dès lors, pour le voyageur qui désire lutter contre l’isolement ? Dès l’abord, plusieurs réponses se proposent :...