2024
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/12c2b
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https://doi.org/10.4000/12c2b
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David Niget, « Conclusion. Un déni d’histoire », Presses universitaires de Rennes
Jusque dans les années 1950, certaines jeunes filles entrant au Bon-Pasteur se voient rebaptisées par les religieuses : on leur attribue un nouveau prénom, sans leur consentement. L’institution tente de façonner une nouvelle identité, au prix de l’oubli de leurs origines. Plus banalement, le passé des filles a toujours été occulté dans les murs : on ne parle pas de sa famille ou de son histoire aux camarades, ni même aux éducatrices du quotidien. Jusqu’aux années 1970, les responsables des sections...