2024
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/12cn9
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https://doi.org/10.4000/12cn9
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Ludovic Florin, « Conclusion », Éditions universitaires de Dijon
Au xxie siècle l’idiome bop constitue la base du langage des musiciens qui s’inscrivent dans une certaine tradition du jazz, que ce soit pour la prolonger ou pour l’interroger. Du bop sont issues de fait diverses déclinaisons jazziques, ce dont témoigne la prolifération des appellations stylistiques apparues entre les décennies 1940 à 1960 : cool, hard bop, modal, post-modal, free form in jazz, new wave, post-bop, etc. L’apprentissage – chez les musiciens – et l’intégration – par les auditeurs...