2019
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/12np2
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https://doi.org/10.4000/12np2
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Luc Vancheri, « Les larmes de Psamménite », Presses universitaires de Strasbourg
Fig. 3 : « Les larmes de Psamménite », Fatima, Philippe Faucon, 2015.© Istiqlal Films.Un film peut donc atteindre ce point d’indistinction esthétique qui impose l’illusion tenace que ce monde d’affects et d’actions existe sans le secours de l’art. La simplicité de la mise en scène, on va le voir, n’est pourtant qu’apparente. Alors que l’attitude critique des journalistes et animateurs présents sur le plateau de l’émission semblait osciller entre deux préjugés qui épuisent rapidement les possibilités...