2024
Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/12wei
Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/12wei
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-7283-1809-4
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-7283-1808-7
info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554
Katerina Papayianni, « Microfauna from historical sites in the Aegean », Publications de l’École française de Rome
Cet article fait le point sur la microfaune dans les sites de l’Égée au Ier millénaire av. J.-C. Les restes osseux de la microfaune des rongeurs (souris, rats, hamsters, etc.), insectivores (musaraignes, taupes, chauves-souris, etc.), reptiles (petits serpents et lézards), amphibiens (grenouilles, crapauds, salamandres) et oiseaux de petite taille n’ont pas été collectés de manière systématique sur les sites historiques ; les données, limitées, permettent cependant de reconstituer des paysages ouverts alternant avec des maquis et des forêts méditerranéennes dans les secteurs proches des sites. En outre, les sources permettent d’identifier des espèces commensales (souris domestiques, rats) et d’esquisser une discussion sur la biogéographie de ces espèces. Enfin, des restes osseux de reptiles d’un sanctuaire de Poséidon, au Ier siècle av. J.-C., sont interprétés comme issus d’usages rituels et d’un dépôt intentionnel.