2021
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/13766
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Cesare Santus, « Le vin de messe en question », Presses universitaires de Rennes
Quand, en 1724, le cardinal Renato Giuseppe Imperiali reçut le jésuite Broglia Antonio Brandolini, procureur des missions indiennes du Maduré, Maïssour et Carnatique, il ne s’attendait pas sûrement à le voir arriver tenant un pot de cendres. On peut imaginer son dégoût lorsqu’il apprit qu’il s’agissait de bouse de vache, brûlée et réduite en poudre. Le père Brandolini ne voulait pas faire une mauvaise plaisanterie, mais il cherchait plutôt à convaincre le cardinal, alors président de la congrégation...