2021
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/13762
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Noëlline Castagnez, « Conclusion », Presses universitaires de Rennes
Être socialiste c’est cultiver sa mémoire, au risque d’entretenir sa mauvaise conscience ou de ne plus pouvoir se réinventer. Quand les socialistes se souviennent de leurs guerres, ils n’oublient rien, jusqu’à leurs propres fautes. Après mai 1981, ils semblent obsédés par un passé si sombre qu’il en obscurcit le futur. Interroger l’identité des socialistes français sous l’angle de leurs mémoires des guerres permet, par conséquent, de saisir un processus d’acculturation majeur des militants au socialisme...