2025
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/137og
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https://doi.org/10.4000/137og
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Émilie Oléron Evans, « Conclusion », Presses universitaires de Strasbourg
Alors qu’en 1986 les chercheuses et chercheurs assistant à la session « Histoire de l’art et Féminisme » de la conférence de la CAA entendaient tonner les canons féministes au-dessus de New York, Mathilde Ferrer, professeure à l’École des beaux-arts, montait à grand peine en 1990, avec le directeur de l’École, Yves Michaud, le colloque « Féminisme, art et histoire de l’art » à Paris. Ferrer raconte s’être heurtée à de multiples refus de la part de critiques, de conservatrices et d’historiennes...