2022
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/13i1w
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Stéphanie Diane Daussy, « L’élaboration des doctrines de restauration des sculptures à Amiens au xixe siècle », Presses universitaires Blaise-Pascal
Dans les années 1840, les règles en matière de restauration n’étant pas définies, la multiplication d’expériences diverses et malheureuses amène à l’emploi de matériaux de substitution (ciment, mastic et pierre artificielle) pour restaurer les œuvres mutilées. Pourtant, dès 1835, les archéologues avaient diffusé leurs préconisations sur les choix et la qualité des travaux, en condamnant vivement certaines initiatives d’architectes. Pour contrer les abus, Prosper Mérimée propose en 1841 une déontologie de la restauration des sculptures.